"our" fort of Pokaran
We leave Pokaran and our own personnel fort for the Kuri Dunes, south of Jaisalmer. On our way we see a date palm field, the “Date Palm Project”. A quick Google research does not give a lot of information except the fact this helps in fighting the desertification of the Thar desert, also know as the Great Indian Desert.
We also pass next to a wind power plant.The Rajasthan Government has adopted a new wind power policy to facilitate installation of wind energy plants of 3,000 MW capacity during the next three to four years and promote private investments in the sector through a slew of incentives and concessions.
http://www.thehindu.com/todays-paper/tp-national/tp-newdelhi/article3660062.ece of July 2012
The Jaisalmer wind park is the largest in Inda…has positively impacted more than 5,000 families in over 70 villages in the Jaisalmer district through initiatives like livestock health care, water conservation, tree plantation as well as community organization and education support.
our small car in front of the huge wind mill
Anyone remembers the movie Return to Rajapur ?Nope ? We didn’t either, no worries. This movie was made in 2006 in Jaisalmer, not Rajapur (still wonder why they called it that way, though), in the hotel Jawanar Niwas Palace. There is even a Local Film Manager who is nice enough to show us around allthough there is a huge wedding reception going on.
the hotel of the film "return to Rajapur"
By the way, we heard that a scene of Slumdog Millionaire was supposed to be taken in the Khuri Dunes but a sandstorm just some hours before the shooting obliged the whole team to cancel it.
along the way - le long de la route
Nous avons de nouveau dormi comme des loirs dans notre chateau de Pokaran, quelle chance.
J’ai oublie de signaler que hier, nous avons eu l’immense surprise de voir un etang ou sont installees des centaines de grues grises. Quelle surprise en plein milieu du desert. Car nous sommes bien dans le desert du Thar - egalement appele le Great Indian Desert - quoi qu’il y ait plein d’arbustes; celui-ci se situe sur la frontiere entre le Pakistan et l’Inde. Il est pas mal diversifie, ayant vegetation ainsi que “vraies” dunes, tout y est.
Le long de la route nous remarquons le “Date Palm Project” du Rajasthan a Chandar. On a juste vu une grande etendue de petits palmiers datiers en rangs d’oignons, pas tres verts, les pauvres. Comme ils seraient jaloux de leurs copains au Congo… Petite recherche rapide via Google qui ne me donne pas grand’chose, a part un petit article parlant des efforts pour contrer la desertification. Allez, tant pis , on passe a autre chose. Pourquoi pas les eoliennes ? Nous traversons le plus grand parc a eoliennes de l’Inde (merci Google) comptant plus d’une 150-aine de turbines (dixit notre chauffeur). L’Inde serait le 5eme producteur d’energie eolienne au monde.
Ce matin nous avons achete des bics car les enfant demandent toujours “pen, pen”. Heureusement qu’ils ne mendient pas le bakshish, quoi que certains osent tout de meme demander “money”. 3 roupies le bic = 4,5 euro cents.
Arrivee vers 15 h a notre destination, le Registhan guesthouse aux dunes de Khuri.
La ville de Jaisalmer, a 50 km de la quelle nous sommes, est connue pour ses Camel Safaris. Nos guides Raju et Routard nous informent du fait que Khuri offre les memes programmes mais moins touristiques et moins chers, quoi qu‘il s’agisse du meme sable, des memes chameaux, du meme soleil couchant. “Moins touristiques” signifie seulement moins de touristes car pour etre touristique, cela reste bien a 100% touristique. Je dois avouer que sur mon chameau, je me suis trouvee bien ridicule et tellement “touriste“, justement. Premiere fois que je montais sur un chameau … c’est plus facile que monter a cheval, a mon avis , car on peut laisser pendouiller les jambes, pas besoin de serrer les flancs de la bebette. Apres 20 minutes, Djuria, mon chameau de 5 ans, et son copain, se sont arretes au sommet de la dune afin de nous laisser le temps d’admirer le soleil couchant. C’est vrai que c’est different d’un coucher de soleil dans la Mer du Nord (oui, oui, "dans" la mer, car le soleil y tombe vraiment, non??). Ces ballades, allant d’une heure a 10 jours, permettent a une partie de la population de survivre car il engendre des revenus pour les chameliers et offrent des boulots, quoi que saisonniers. Alors, n’ayons pas honte.
Nous avons de nouveau dormi comme des loirs dans notre chateau de Pokaran, quelle chance.
J’ai oublie de signaler que hier, nous avons eu l’immense surprise de voir un etang ou sont installees des centaines de grues grises. Quelle surprise en plein milieu du desert. Car nous sommes bien dans le desert du Thar - egalement appele le Great Indian Desert - quoi qu’il y ait plein d’arbustes; celui-ci se situe sur la frontiere entre le Pakistan et l’Inde. Il est pas mal diversifie, ayant vegetation ainsi que “vraies” dunes, tout y est.
Le long de la route nous remarquons le “Date Palm Project” du Rajasthan a Chandar. On a juste vu une grande etendue de petits palmiers datiers en rangs d’oignons, pas tres verts, les pauvres. Comme ils seraient jaloux de leurs copains au Congo… Petite recherche rapide via Google qui ne me donne pas grand’chose, a part un petit article parlant des efforts pour contrer la desertification. Allez, tant pis , on passe a autre chose. Pourquoi pas les eoliennes ? Nous traversons le plus grand parc a eoliennes de l’Inde (merci Google) comptant plus d’une 150-aine de turbines (dixit notre chauffeur). L’Inde serait le 5eme producteur d’energie eolienne au monde.
Ce matin nous avons achete des bics car les enfant demandent toujours “pen, pen”. Heureusement qu’ils ne mendient pas le bakshish, quoi que certains osent tout de meme demander “money”. 3 roupies le bic = 4,5 euro cents.
Arrivee vers 15 h a notre destination, le Registhan guesthouse aux dunes de Khuri.
La ville de Jaisalmer, a 50 km de la quelle nous sommes, est connue pour ses Camel Safaris. Nos guides Raju et Routard nous informent du fait que Khuri offre les memes programmes mais moins touristiques et moins chers, quoi qu‘il s’agisse du meme sable, des memes chameaux, du meme soleil couchant. “Moins touristiques” signifie seulement moins de touristes car pour etre touristique, cela reste bien a 100% touristique. Je dois avouer que sur mon chameau, je me suis trouvee bien ridicule et tellement “touriste“, justement. Premiere fois que je montais sur un chameau … c’est plus facile que monter a cheval, a mon avis , car on peut laisser pendouiller les jambes, pas besoin de serrer les flancs de la bebette. Apres 20 minutes, Djuria, mon chameau de 5 ans, et son copain, se sont arretes au sommet de la dune afin de nous laisser le temps d’admirer le soleil couchant. C’est vrai que c’est different d’un coucher de soleil dans la Mer du Nord (oui, oui, "dans" la mer, car le soleil y tombe vraiment, non??). Ces ballades, allant d’une heure a 10 jours, permettent a une partie de la population de survivre car il engendre des revenus pour les chameliers et offrent des boulots, quoi que saisonniers. Alors, n’ayons pas honte.
Sur nos chameaux - pas de mal de mer et pas de vertige
Nous y rencontrons 3 Hollandais qui visitent l”Inde pour la 7eme fois en 30 ans. Ils nous conseillent de faire du velo a Delhi et de consulter le site DelhiByCycle. Mmmmm cela a l‘air bien sympa.
our tent
Nous logeons sous tente bien confortable : copie d’une “Swiss tent” avec vrai lit et vraie salle de bain. J’ai oublie de dire que le logement, lors d’un Camel Safari a partir de Jaisalmer, offre 2 choix : loger dans la swiss tent (cher) ou loger a la belle etoile (pas cher). Ici a Kuri, Papu et ses 3 freres proprietaires de cet hotel ont vu les photos des swiss tent et en ont commande des copies, ce qui leur permettent de facturer bien moins que les concurrents des autres dunes. Malins, les gars. Le ciel aux mille etoiles est magique .
Ici les femmes vont chercher l’eau au puits, a pieds en portant les jarres sur la tete. Elles sont toujours habillees de couleurs vives et dans ce village surtout de rose. Nous demandons toujours la permission avant de prendre une photo. Plusieurs fois, elles nous ont repondu “roupies””. Tu veux prendre ma photo ? Tu me payes. Aucun homme n’a encore fait cette requete.
Tres belles scènes de vie campagnarde.
one of the local water sources - le puit d'eau visible depuis notre tente
En route pour la ville de Jaisalmer voisine, la derniere avant la frontiere Pakistanaise (loin, quand meme, la bas tout au bout du desert).
Qui a vu le film “Return to Rajapur” ? personne ? Cela se comprend, on n’en a jamais entendu parler non plus - quoi que sorti il y a 6 ans - et nous l’avons enregistre un peu par hasard il y a quelques semaines.
RÉSUMÉ"Return to Rajapur» est une histoire pleine de sincérité, qui parle d'amour et de destinée. C'est un drame riche en émotions, qui se déroule à Rajapur, une ville de sable balayée par les vents, riche de palais centenaires, cerclée de camps du désert et qui vibre au rythme de la culture indienne
Ouais, ouais, Rajapur …. que neni, le film a été tourne a Jaisalmer (le vrai Rajapur se trouve au Nepal), a l’hotel Jawanar Niwas Palace. Nous y faisons un saut et sommes accueillis par le Local Film Manager parmi une activite debordante car, ici aussi, une grande reception de mariage a lieu. C’est super de se trouver dans les lieux du film.
mariage / wedding at the Jaisalmer hotel
coucou! Il fait un temps de chien ici...Pluie douce...Rien de bien méchant. J'aime bien la swiss tant ça fait très "out of Africain"Tu as demande a Philippe de te laver les cheveux comme dans le film! Hihi Bises Bv
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